Ou, plus précisément, des porters, dans toute leur variété, leur amplitude et leurs nuances. Il y a les porters lâches ou les porters ajustés, les porters lents ou vifs, les porters de bureau ou sportifs, les porters juvéniles ou les porters matures. Cette palette de possibilités est, par nature, imprévisible, et donne la mesure du défi que nous nous sommes fixé depuis nos origines. Horlogers de la montre‑bracelet par excellence, nous n’avons jamais cessé d’affiner nos savoir‑faire pour maîtriser le mouvement au poignet.
La précision est une prévision
Chez nous, la précision n’est pas seulement une affaire de mécanique horlogère. Elle relève tout autant de la « mécanique » humaine. La chronométrie superlative que nous garantissons va bien au-delà de la conception, de la fabrication et de l’agencement exigeants de tous les éléments constitutifs de nos montres. Elle résulte de l’appréhension fine d’une science que nous nous efforçons de rendre aussi exacte que possible : la science du porteur.
Chez nous, la précision n’est pas seulement une affaire de mécanique horlogère. C’est la « prévision de l’imprévisible » qui guide notre quête perpétuelle de précision.
Que ce dernier, indolent, d’un coup s’emballe et tournoie, qu’il repose inerte ou qu’il se meuve au rythme effréné des journées, il impose à la montre elle‑même un véritable carrousel de positions. Par l’observation, la compréhension et la reproduction en laboratoire de tous ces comportements, au plus près de la réalité, nous pouvons garantir en toute confiance l’irréprochable stabilité de marche de nos garde‑temps. C’est la « prévision de l’imprévisible » qui guide notre quête perpétuelle de précision.
Le savoir‑faire horloger selon Rolex